Les quartiers d’affaires à Paris boudés par les cadres
Une étude menée par l’IFOP à la demande de la Société Foncière de Lyon a permis de mettre en lumière le point de vue de cadres et de dirigeants parisiens concernant leur lieu de travail et les quartiers d’affaires à Paris. Environ 300 dirigeants et 1000 cadres franciliens évoluant au sein d’entreprise comptant au moins 50 salariés ont été interrogés.
Les cadres interrogés se sont révélés assez satisfaits de leurs bureaux actuels, à raison de 76% pour les cadres et 89% chez les dirigeants. En termes de territoires, certaines disparités ont cependant été notées.
Avec 80% de satisfaction des professionnels évoluant dans cette zone, la ville de Paris est sans surprise considérée comme le lieu d’implantation optimal pour l’activité des entreprises et pour la maximisation des performances.
Concernant le site à choisir, 85% des dirigeants et 72% des cadres ont déclaré que les quartiers mixtes, mêlant à la fois des logements, des commerces et des bureaux étaient des lieux favorables à l’installation des entreprises. Des chiffres en phase avec une génération de travailleurs qui apprécient le fait de pouvoir accéder à une multitude de services à proximité de leur travail. 56% des cadres de moins de 35 ans accordent en effet de l’importance à l’implantation de leur entreprise.
Ce fort enclin pour les quartiers mixtes a mis en lumière le désamour que certains professionnels éprouvaient à l’égard des quartiers d’affaires, notamment celui de la Défense. Seuls 17% des cadres et 7% des dirigeants ont estimé que ce lieu d’implantation était idéal pour la performance de l’entreprise. Les cadres interrogés considèrent en outre qu’une augmentation de salaire de 21% serait nécessaire pour accepter de travailler dans ce quartier d’affaire parisien. Si ce chiffre reste inférieur à ceux des autres territoires – une augmentation de 33% en moyenne serait par exemple nécessaire pour envisager de travailler en Seine Saint Denis – il n’en démontre pas moins un attrait limité pour cette zone géographique.
Pour avoir des locaux au cœur de Paris, 53% seraient prêts à accepter d’évoluer dans un espace de travail plus réduit. Les dirigeants sont dans une tendance inverse puisque 60% opteraient pour des locaux plus grands en dehors de Paris s’ils avaient à choisir.
Les cadres interrogés se sont révélés assez satisfaits de leurs bureaux actuels, à raison de 76% pour les cadres et 89% chez les dirigeants. En termes de territoires, certaines disparités ont cependant été notées.
Avec 80% de satisfaction des professionnels évoluant dans cette zone, la ville de Paris est sans surprise considérée comme le lieu d’implantation optimal pour l’activité des entreprises et pour la maximisation des performances.
Concernant le site à choisir, 85% des dirigeants et 72% des cadres ont déclaré que les quartiers mixtes, mêlant à la fois des logements, des commerces et des bureaux étaient des lieux favorables à l’installation des entreprises. Des chiffres en phase avec une génération de travailleurs qui apprécient le fait de pouvoir accéder à une multitude de services à proximité de leur travail. 56% des cadres de moins de 35 ans accordent en effet de l’importance à l’implantation de leur entreprise.
Ce fort enclin pour les quartiers mixtes a mis en lumière le désamour que certains professionnels éprouvaient à l’égard des quartiers d’affaires, notamment celui de la Défense. Seuls 17% des cadres et 7% des dirigeants ont estimé que ce lieu d’implantation était idéal pour la performance de l’entreprise. Les cadres interrogés considèrent en outre qu’une augmentation de salaire de 21% serait nécessaire pour accepter de travailler dans ce quartier d’affaire parisien. Si ce chiffre reste inférieur à ceux des autres territoires – une augmentation de 33% en moyenne serait par exemple nécessaire pour envisager de travailler en Seine Saint Denis – il n’en démontre pas moins un attrait limité pour cette zone géographique.
Pour avoir des locaux au cœur de Paris, 53% seraient prêts à accepter d’évoluer dans un espace de travail plus réduit. Les dirigeants sont dans une tendance inverse puisque 60% opteraient pour des locaux plus grands en dehors de Paris s’ils avaient à choisir.